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Djebril Zonga Origine

Djebril Zonga Origine – “Window on Body” du magazine L’Equipe mettait en vedette la star des “Misérables” et l’acteur de 38 ans Djebril Zonga. J’ai toujours eu une routine sportive régulière. Le tennis a été le catalyseur initial Andre Agassi et Andrei Medvedev, que j’ai vu jouer pour la première fois à la télévision à Roland-Garros.

Sont devenus mes héros d’enfance ayant grandi à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), j’ai commencé à jouer au tennis à l’âge de 9 ans. Mais j’ai vite compris que la pratique quotidienne était essentielle si je voulais développer une force exceptionnelle et le coût du tennis était élevé à l’époque.

Mes deux parents travaillaient à temps plein quand je grandissais bien que mon amour pour le tennis, les cours de tennis ne me permettaient de jouer qu’une heure par semaine. Le football, heureusement, était une option j’étais l’enfant du quartier et de l’école primaire Louise-Michel qui allait traîner avec les grands.

Puis, un pote à moi qui jouait à l’AS Bondy, le club formateur de Kylian Mbappé, m’a proposé de le rejoindre. Je l’ai fait à un âge inhabituellement tardif de 15 ans environ.

Je détestais avoir l’impression de devoir être l’enfant populaire tout le temps

Pendant une période de dix ans, le jeu a été ma principale forme de divertissement quand j’avais 18 ans, j’ai essayé plusieurs clubs, dont l’équipe du championnat d’Angleterre Colchester United (D2). J’ai passé un an au Portugal avec le FC Pedras Rubras après avoir joué en CFA2 avec Ivry-sur-Seine (D3).

J’étais compétent, mais seulement avec un salaire mensuel de mille euros j’ai été façonné en attaquant malgré ma conviction que j’aurais été plus efficace en tant que milieu de terrain défensif. Après m’être installé dans ma nouvelle maison du Portugal pendant un an, j’ai décidé de commencer le mannequinat.

Je me transporte dans un monde différent, plus créatif, où je prends progressivement conscience de la nécessité de faire de l’exercice. Quand je faisais de l’athlétisme pour mon propre plaisir, je m’en foutais mais on s’attend à ce que je sois en parfaite santé quand j’y arriverai je suis disponible pour des consultations de campagne.

Djebril Zonga Origine

Et de test à tout moment soyez prêt à tout moment pourtant, je ne suis pas le genre de gars qui fait constamment des régimes. J’adhère aux principes de l’épicurisme. Pour moi, c’est 88 kg. Pour le film Les Misérables (dans lequel il apparaît) qui est sorti mercredi dernier, j’ai tout donné car je voulais donner à mon rôle une dimension.

Et un poids digne d’un acteur américain Avec l’aide d’un coach, j’essaie de perdre ces kilos en toute discrétion. Cela m’encourage à être discipliné car il planifie mon temps et je ne peux pas l’abandonner. Le temps est venu pour moi d’arrêter de faire des mannequins et de me concentrer uniquement sur la comédie.

Je préfère être appelé ainsi. J’en ai eu marre de me sentir obligée de jouer le rôle de “bel enfant”. Il faut du temps pour développer une apparence virile. C’est bénéfique, utile et peut à la fois ouvrir et fermer des opportunités pour vous ma douceur et mon attrait ont rebuté le producteur du film, qui m’avait choisi à l’origine aujourd’hui est.

Une drôle de journée pour moi Les Misérables, de Ladj Ly met en vedette Djebril Zonga comme l’un des personnages clés. Il était un ami d’enfance du réalisateur et est originaire de Chêne-Pointu. Blouson aviateur noir sur un col roulé, avec une casquette sur le dessus ce soir d’octobre, après la première de “Les Misérables”, Djebril Zonga.

Apparaît presque encore comme un “baqueux”, lorsqu’il s’adresse au public de l’Espace 93 à Clichy-sous-Bois.

Du primaire au lycée, j’étais basé à Clichy-sous-Bois

Il en est ainsi puisque l’acteur est originaire de la région. Parisien de naissance et par choix. Pourtant, la cité du Chêne-Pointu à Clichy est le lieu majestueux et triste du long métrage de Ladj Ly, où il a passé ses années de formation De l’école primaire au collège, affirme-t-il A Rabelais, mon adresse était le numéro 3.

Dans ma jeunesse, j’habitais à Clichy j’y ai passé de nombreux étés heureux, même lorsque nous n’allions nulle part de spécial. Aîné de quatre enfants nés d’un chauffeur de taxi et d’une mère au foyer, ce jeune homme n’est pas allé à l’école et a abandonné pour poursuivre une carrière dans le football.

Entre deux séances photo à New York, il s’est retrouvé avec du temps libre, alors il a décidé de prendre des cours de théâtre. A-t-il déjà fantasmé qu’il pourrait revenir sur ses pas jusqu’à Chêne-Pointu et jouer un plateau de tournage, réalisé par un copain de jeunesse incontestablement non.

“Nous pouvons tous nous considérer comme chanceux il dit, toujours incrédule, “Personne ne s’attendait à ce que la photo aille aussi loin”. Lorsqu’ils “ont tous traîné ensemble aux Bosquets”, lui et Ladj Ly lui ont fait une impression durable Djebril Zonga a contacté le jeune réalisateur en 2016 alors qu’il tournait un court-métrage, faisant.

La promotion de l’image qui allait être primée à Cannes laisse-moi faire passer les examens, lui ai-je dit. Si ça ne marche pas, alors ça ne marche pas. Documents réécrits. De cette zone, Djebril Zonga devient gwada, un policier bac silencieux dont l’armure se fracturera selon les circonstances.

Passer du temps dans un vrai poste de police

Le mannequin a passé la nuit dans un commissariat parisien afin de rentrer dans son personnage. Et je n’arrêtais pas d’appeler un policier rencontré par des connaissances pourr conseils pendant que je me préparais pour la partie je lui ai dit exactement ce qu’il avait besoin d’entendre ou de faire.

Je lui ai demandé s’il trouvait cela plausible contrairement aux “Microbes”, du film, un essaim de préadolescents provocants, Djebril Zonga a eu peu de démêlés avec la loi quand il était jeune. A l’époque, c’était calme au Chêne-Pointu. Un peu plus tard, j’ai appris les freins et contrepoids, les rapports un peu contradictoires.

Le retour à Clichy-sous-Bois pour le tournage a été inoubliable la région et beaucoup de gens de mon enfance étaient toujours là. Il était au courant des changements qui s’étaient opérés au Chêne-Pointu, une copropriété HLM qui est aujourd’hui au centre d’une proposition pour la sauver: quand j’habitais là-bas, c’était propre, toutes.

Les communautés s’y côtoyaient la sécurité le gars nous a éjectés du hall quand nous avons essayé de jouer au football là-bas.

Nominé pour un Oscar ou un César

Djebril Zonga a été surpris par le succès du film: j’ai été déçu de ma prestation mais Ladj avait une destination précise en tête. Nous avons créé un film social sans même le savoir. Le sujet qui nous occupe est la condition de la jeunesse de notre nation, celle qui conduira un jour la France vers son avenir radieux.

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Jenniffer Sheldon

Update: 2024-08-10